mardi 11 novembre 2014

Du bonheur

C'est toi qui écoute mon cœur,
Ce sont tes cheveux dans ma main
Et l'on se connaîtrait si bien
Qu'ainsi l'on passerait des heures
Que l'on se passerait de mots,
Juste ta peau contre ma peau,
Et, si à un moment, on en pleure,
C'est que c'est vraiment,
C'est que c'est vraiment,
C'est que c'est vraiment
Du bonheur.

C'est n'entendre, dans le silence,
Que l'air de l'autre qui respire,
C'est se faire tellement confiance
Que l'on n'a rien à se dire
C'est ce moment où rien ne presse,
Ce moment où chaque caresse
N'est que nos souffles qui s'éfleurent
Ce serait vraiment,
Ce serait vraiment,
Ce serait vraiment
Du bonheur

J'oublie les nuits sous l'oreiller de Damoclès
J'oublie les jours à dire à Morphée qu'il me laisse
Juste envie de me laisser chavirer sur l'onde
De ta respiration profonde

C'est ce moment, dans notre histoire,
Où l'on se passera de gestes,
Où j'en oublierai tout le reste
Pour ne rien garder en mémoire,
Que les battements de ton cœur
Et le parfum de tes cheveux,
Si j'en pleure une fois où deux
C'est que c'est vraiment,
C'est que c'est vraiment,
C'est que c'est vraiment
Du bonheur

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